L’intérieur sensuellement coloré de Miranda Makaroff
Miranda Makaroff fait partie de ces nouveaux artistes à la créativité débridée. Desigual, Tommy Jeans, Playboy… L’illustratrice, peintre, designer, influenceuse (et actrice à ses temps perdus) espagnole enchaîne les collaborations atypiques. Son style, reconnaissable parmi mille, croise les genres et les époques, vacillant entre l’optimisme vibrant des seventies, l’art poétique de Picasso, ou même l’énergie folklorique de Gucci… Bienvenue chez elle !
« 99% du temps, je peins des femmes. Je trouve une beauté
absolue dans leurs formes, leurs courbes et leurs lignes délicates. »
De quoi t’inspires-tu pour peindre ?
« 99% du temps, je peins des femmes. Je trouve une beauté absolue dans leurs formes, leurs courbes et leurs lignes délicates. La femme est un diamant de la nature, un être qui apporte la vie au monde. Quelque chose de très puissant, sensible et très intelligent… ».
Comment décrirais-tu ton art ?
« Artistiquement parlant, j’aime beaucoup l’abstrait, le surréalisme et la géométrie. J’aime combiner les couleurs et les formes, et celles qui me procurent un plaisir visuel. Surtout, mon art est impulsif, comme le vomi. Je dis toujours qu’il faut le vomir, le laisser sortir de l’inconscient. »
Tes derniers projets fous ?
« L’installation The Octopus Visit pour l’ouverture de l’hôtel El Silencio à Ibiza. Pour cette nouvelle adresse folle, j’ai imaginé d’énormes tentacules en tissu, des lèvres géantes et des balançoires fantaisistes directement inspirées du psychédélisme des années 1970.
Et plus récemment, j’ai lancé ma deuxième série d’œuvres NFT avec Playboy et la plateforme SuperRare : The garden of D’lights et AE 3.0 Re-Genesis. Une collection d’œuvres numériques mystiques qui ré-interprètent avec surréalisme l’histoire de Playboy, son art contemporain et ses photographies. »
Instagram : @mirandamakaroff