Pourquoi chiner sur internet plutôt qu’en brocante ?
Chiner n’est pas seulement une affaire d’argent. C’est aussi une affaire de temps. Se rendre tôt aux puces le week-end pour sauter sur les meilleures occasions ne convient pas à tout le monde. La solution pour ceux qui aiment les beaux objets vintage sans avoir à se déplacer ? Chiner en ligne. Insidy vous dévoile quatre conseils indispensables pour arriver à une affaire conclue sans bouger.
1. Avoir une idée en tête sans avoir trop d'attentes
Bouilloire Alessi vintage, dame-jeanne, table en marbre… Peu importe ce que vous cherchez, vous le trouverez en ligne. En revanche, il n’est pas certain que vous trouviez le modèle exact, avec le tissu parfait ou la teinte idéale. Ce sont les aléas de la seconde main, et ça vaut pour la chine en ligne comme pour la brocante. Mais c’est aussi ce qui fait son charme. À l’heure où tout se produit par masse et se ressemble, chiner permet de singulariser son intérieur avec des pièces aussi rares que singulières, tout en valorisant les savoir-faire d’antan.
2. Se renseigner sur les prix pratiqués
Pour ne pas se faire avoir au moment de l’achat, mieux vaut se renseigner d’abord sur le prix pratiqué dans le milieu. Contrairement aux brocantes, la chine en ligne vous donne le temps de réfléchir et de faire ses propres recherches en amont avant de procéder à la transaction.
Si vous cherchez une pièce de designer, vérifiez bien qu’il s’agit d’une originale en demandant une photo du certificat d’authentification ou des photos de l’estampille, de l’année de production, de la signature du créateur… S’il s’agit d’une pièce originale, il est normal que le prix soit élevé. Vous pouvez trouver des fourchettes de prix comparatives sur des sites comme Design Market ou Selency. N’oubliez pas de prévoir de potentiels frais de livraisons ou de restauration.
3. Savoir négocier raisonnablement
Parmi les nombreux intérêts de la chine, il y a la possibilité de baisser le prix si l’on estime que le produit est en mauvais état ou qu’il est vendu plus cher que chez un concurrent. Évidemment, il ne s’agit pas de dévaloriser le produit et de manquer de respect au brocanteur, mais de demander un rabais à hauteur par exemple de trente pour cent sur le prix total.
4. Ne pas avoir peur de rénover l’objet
Pour des raisons évidentes d’ancienneté, le mobilier peut être abimé, amoché… C’est aussi ce qui permet de demander un rabais. Si vous êtes bricoleur, vous pouvez retaper l’objet, ou tout simplement le confier à une professionnel qui se chargera de le remettre à neuf. C’est un beau moyen de redonner de la valeur à une pièce qui a perdu de sa superbe et d’éviter d’acheter encore du neuf alors qu’une infinité d’objets existe déjà.
Notre sélection de comptes Instagram pour chiner en ligne
Que ce soit Selency, leboncoin ou Emmaüs, les sites institutionnels de seconde main ont dans leur catalogue toutes les pièces imaginables lorsque l’on sait exactement ce que l’on cherche. Il suffit de prendre son mal en patience et d’affiner ses critères de recherche. Si au contraire, on est d’humeur à se laisser porter par le vent, des petites brocantes en ligne comme ReneLachance, CASA VIOLA, ou encore Le vide grenier d’une parisienne regorgent de pièces uniques et d’iconiques à prix compétitifs.
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